Il reste 5 jours d'école avant les grandes vacances... 5 petits jours ou nous aimerions, vraiment, que nos enfants puissent avoir le droit eux aussi, d'être "protégés" et d'aller passer leurs journées dans une école calme et paisible.
Est ce possible ?
La FCPE et la PEEP réitèrent de façon solidaire, leur demande d'arrêt des travaux de destruction de la bulle les jours d'école, jusqu'au 6 juillet.
Cette demande a été adressée de nouveau mardi 26 au soir auprès de la Mairie.
Dans l'après - midi, Monsieur Knusmann nous avait renvoyé un mail pour nous préciser qu'il n'était pas resté insensible à nos demandes et avait agit. Le marteau piqueur devait être suspendu ce mardi 26, au profit d'un déblayage des gravats moins sonore. Dont acte.
Pourtant à écouter quelques témoignages d'enfants à la fête des jeux en maternelle, ce mardi 26 juin, le bruit a encore été bien présent dans la journée.
Une classe qui n'a pu aller en pique nique en raison de la pluie a conclu, "on va rester dans le bruit des travaux au lieu de profiter du grand air".
D'autres classes donnant sur la rue ont souffert du bruit même fenêtres fermées.
La réunion de chantier prévue ce mercredi 27 juin, permettra, peut-être de comprendre pourquoi cette décision d'offrir 5 journées d'école normale, sans bruit de marteau piqueur ou pelleteuse de déblayage, aux enfants, ne peut être prise par la Mairie.
Isabelle Nissim / FCPE JO
Est ce possible ?
La FCPE et la PEEP réitèrent de façon solidaire, leur demande d'arrêt des travaux de destruction de la bulle les jours d'école, jusqu'au 6 juillet.
Cette demande a été adressée de nouveau mardi 26 au soir auprès de la Mairie.
Dans l'après - midi, Monsieur Knusmann nous avait renvoyé un mail pour nous préciser qu'il n'était pas resté insensible à nos demandes et avait agit. Le marteau piqueur devait être suspendu ce mardi 26, au profit d'un déblayage des gravats moins sonore. Dont acte.
Pourtant à écouter quelques témoignages d'enfants à la fête des jeux en maternelle, ce mardi 26 juin, le bruit a encore été bien présent dans la journée.
Une classe qui n'a pu aller en pique nique en raison de la pluie a conclu, "on va rester dans le bruit des travaux au lieu de profiter du grand air".
D'autres classes donnant sur la rue ont souffert du bruit même fenêtres fermées.
La réunion de chantier prévue ce mercredi 27 juin, permettra, peut-être de comprendre pourquoi cette décision d'offrir 5 journées d'école normale, sans bruit de marteau piqueur ou pelleteuse de déblayage, aux enfants, ne peut être prise par la Mairie.
Isabelle Nissim / FCPE JO
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